Ludovic Chancel dans Ici Paris.

Extrait de Ici Paris n° 3144 du 4 au 10 octobre 2005 : Pauvre Sheila! La star va de déconvenue en déconvenue avec son rejeton...
Coucou, le revoilou! Ludovic Chancel, le fils d'Annie Chancel (dite Sheila), refait parler de lui... Après avoir été drogué et prostitué, il débute une nouvelle vie placée sous le signe du caleçon!
Il lui aura tout fait. D'abord prendre des produits illicites dans des lieux interlopes. Puis vendre ses charmes à tous ceux et celles qui pouvaient payer. Enfin, écrire un livre dans lequel il révélait tout. On le croyait donc assagi. Et puisqu'il avait achevé ses confessions en faisant des projets, on l'imaginait sérieux montant une boîte de communication ou renouant avec la quiétude du monde en élevant des chèvres dans le Larzac. Il n'en est rien...
On a pu le constater lors de l'anniversaire du Banana Café qui, comme son nom l'indique, est un haut lieu de la nuit gay parisienne. Juché sur un podium, Ludo a tombé la chemise, puis a commencé à se trémousser contre une barre en Plexiglas.
Perdant ses qualités naturelles sous cet attouchement impromptu, le Plexi s'est mis à chauffer, et la température de Ludovic aussi puisqu'on a bientôt pu admirer son caleçon blanc! Ne lui jetons pas la pierre (ou alors visons bien), car les dessous de cette histoire sont peut-être plus tragiques qu'il n'y paraît...
Pour être fils de stars, Ludovic n'en doit pas moins payer son loyer et, après tout, représentant en caleçons est un métier assez culotté! Serait-ce pour gagner le pain de sa vie que le jeune homme s'exhibe ainsi dans les lieux publics, subissant les réflexions sous la ceinture des moins délicates ("Ahi, qué banana!") ?
Allez, jetons un voile de pudeur sur cette affreuse scène pour en revenir à une question essentielle : que va en penser Sheila ? A la sortie de son livre, Ludovic déclarait n'avoir pas réussi à renouer le dialogue avec sa mère. Espérons que devant les efforts de son petit pour assurer son train de vie, elle va être émue et lui téléphoner pour l'encourager : "Ludovic, mon petit, il t'en reste en 42 ?" Jean-Marc (3 photos).