PASSION SHEILA

En concert : 10 janvier 2015 à Bourbon-l'Archambault (03) ; 18 janvier à Reims-Tinqueux (51) ; 24 janvier à Chevigny-Saint-Sauveur (21) ; 14 mars à Forges-les-Eaux (76) ; 15 mars à Peronne (80) ; 28 mars à Montigny-le-Bretonneux (78) ; 25 avril à Larajasse (69)...

samedi 2 décembre 2006

Sheila dans le livre "Chanson, les années 60".


Sheila dans le livre "Chanson, les années 60" de Olivier Calon, sorti le 11 octobre 2006.

En vente sur le site "alapage.com".

Caractéristiques



Editeur(s) : L'Archipel
Genre : MUSIQUE
Date de Parution : 11/10/2006

ISBN : 2841878597 - EAN : 9782841878598



Commentaires



Dans les années 60, pour la première fois la chanson est conçue par et pour les jeunes. Les enfants du baby-boom constituent un nouveau marché que l'industrie du disque cherche à conquérir; elle y parviendra grâce à des " idoles " nommées Johnny, Sylvie, Sheila, Claude François, Christophe... Les artistes ont l'âge de leurs fans. C'est le temps des " copains " ! Mais la chanson des années 60 ne se résume pas au phénomène yéyé. Elle voit cohabiter les grands auteurs-compositeurs apparus dans les années 50 - Brassens, Brel, Aznavour, Ferré... -, les vedettes yéyé, au parcours parfois météorique, des chanteurs iconoclastes - Antoine, Dutronc... - et des défenseurs de la chanson " à texte " tels Jean Ferrat, Barbara, Anne Sylvestre. C'est leur histoire, racontée à travers quarante de leurs succès, de Il n'y a plus d'après de Guy Béart (1960) à Je t'aime... moi non plus de Serge Gainsbourg (1969), qu'Olivier Calon fait revivre dans cet album. Un panorama de la scène et du disque - plus de 400 chansons et autant de personnalités évoquées - qui est aussi un voyage dans la mémoire de la chanson française.



Premières lignes



Extrait de l'introduction : Les années 1960 voient l'irruption de la jeunesse sur le devant de la scène. Pour se faire entendre, elle peut compter sur son importance démographique: en 1963, les moins de 20 ans, enfants du baby-boom, représentent plus du tiers de la population ! Elle peut aussi compter - et c'est une première ! - sur une réelle puissance économique : les juniors bénéficient de l'amélioration des conditions de vie de leurs parents et disposent d'argent de poche. Enfin, la jeunesse profite d'une éducation bien plus libre que celle des générations précédentes. De ce décalage naît un conflit entre les jeunes et leurs aînés, les «croulants», dont ils cherchent à s'affranchir. Qu'est-ce qui différencie ces deux générations ? Le langage, la mode vestimentaire (jusque dans les années 1960, les jeunes s'habillaient comme leurs parents) et les chansons. Celles-ci vont servir de révélateur. Mieux, de détonateur. Pour la première fois, la chanson va très largement exister par et pour les jeunes. Cette classe d'âge représente un nouveau marché que les radios et l'industrie du disque cherchent à conquérir. Elles y parviendront grâce aux idoles. Ah, les «idoles», mot-clé des années 1960 ! Elles se nomment Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Adamo, Sheila, France Gall, Françoise Hardy, Claude François... Leur point commun ? Elles ont l'âge de leurs fans ! Pour la première fois, la jeunesse est à la fois sur la scène et dans la salle, c'est le temps des «copains», autre leitmotiv de la décennie. Centrés d'abord sur leur univers proche - l'école, les amis -, les jeunes, plus instruits et mieux informés, vont peu à peu s'ouvrir sur la société et sur le monde, aspirant à d'autres valeurs et d'autres moeurs que leurs aînés. Les chansons, «leurs» chansons, sont très révélatrices de cette volonté. Autre phénomène essentiel, la musique va rapprocher les deux jeunesses d'alors : celle qui est mise au travail dès 16 ans, au terme de la scolarité obligatoire, et celle qui peut se permettre de suivre des et longues. Les deux groupes aimeront les mêmes idole applaudiront les mêmes spectacles.

Merci à Serge sur le forum "Mélancolie".

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